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dimanche, 23 février 2020

Je propose des recueils sur mes peintures et illustrations.

     Chers amis qui entrez dans mon univers de créations graphiques ou qui me suivez depuis plus de dix ans sur mon blog et mon site www.ajenlis.fr , sachez que vous trouverez ici un ensemble d'articles sur les thèmes les plus variés, basés sur mes dessins, mes peinture et mes travaux publicitaires. Une expérience unique qui devrait intéresser tous ceux que les arts graphiques intéressent.

     Pour ceux qui considèrent encore que le papier peut encore être un meilleur support de mémoire que l'ordinateur pour la conservation de l'image, j'ai réuni dans des recueils à thème une grande partie de mes travaux graphiques et picturaux que je vous présente ici :

 

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Un séjour à Florence.

Cet ouvrage réunit l'ensemble de mesdessins et gouaches réalisés lors de mon séjour à Florence en août 1961, avec un texte, comme un carnet de voyage et des légendes pour chaque illustration.

Dossier de 12 pages recto + 2 pages de couverture au format 29,7 x 21 cm, à l'italienne. Reliure à spirale sur le petit côté gauche.

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Recueil de mes peintures faites d'imagination.

Je propose mon recueil » Figures emblématiques de l’Histoire » composé de 43 planches recto au format 29,70 x 21 cm, tout en couleur (chaque planche contient 2 tableaux en hauteur ou 1 tableau en largeur avec leur titre sur papier 110 g/m2 et couverture 160g/m2, film transparent, relié par une spirale.

 

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Mon manuscrit sur l'histoire de l'écriture.

Je propose le fac-similé de mon cahier d'histoire de l'écriture réalisé à Estienne en 1960 et 1961, composé de 62 pages présentées ici par deux sur 16 planches recto/verso au format 29,70 x 21 cm, tout en couleur sur papier 110 g/m2 et couverture 160g/m2, film transparent, relié par une spirale.

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Les sapeurs-pompiers de France.

Ce recueil réunit les 24 planches que j'ai réalisées sur les uniformes des sapeurs-pompiers en France depuis Louis XIV avec les troupes des galères en service à Marseille jusqu'à 1985, l'année où j'ai conçu cette documentation.

Je propose ce recueil de 24 planches au format 29,70 x 21 cm, tout en couleur (chaque page contient 2 planches au format 14,60 x 21 cm sur papier 190 g/m2 et couverture film transparent, relié par une spirale.

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Les uniformes français de 1814 à 1830.

Ce recueil réunit les 44 planches que j'ai réalisées sur les uniformes de la Restauration, période difficile pour les anciens militaires de l’Armée Impériale. Louis XVIII réussit à récupérer un grand nombre d’entre eux dans la Garde royale habillée d’uniformes chatoyants, plus faite pour la parade que pour la guerre qui avait enfin pris fin.
Je propose ce recueil de 44 planches accompagnées de quelques unes de mes illustrations sur cette époque, au format 29,70 x 21 cm, tout en couleur (chaque page contient 2 planches au format 14,60 x 21 cm sur papier 190 g/m2 et couverture film transparent, relié par une spirale.

     Si l'un ou plusieurs de ces recueils vous intéresse, vous pouvez savoir quel est le coût de chacun d'eux et me les commander en remplissant les bons de commandes que vous trouverez dans ma galerie commerciale située dans la colonne de gauche. Pour les deux recueils en préparation, des encouragements de votre part m'inciteraient à les finaliser très rapidement.

Et que vivent longtemps les arts graphiques sur papier.

                                                                            Alain de Jenlis

 

lundi, 29 avril 2013

L'ai-je bien méritée ?

La médaille de la Ville de Paris

Dans le cadre d'une exposition qui a eu lieu récemment à La Madeleine, je me suis vu décerner la médaille de bronze de la Ville de Paris pour mon œuvre graphique et picturale. Je n'en reviens pas encore sachant que, pendant des années, j'ai dessiné, j'ai peint, j'ai gravé, suivant mon imaginaire et mes observations afin de faire partager mes passions pour l'histoire ancienne, l'histoire de l'art, les costumes civils et les tenues militaires. Ma plus grande joie, dans cette affaire, n'est pas dans la reconnaissance de mon travail (si, quand même un peu !) mais dans la joie de posséder une médaille sculptée par Maurice Delannoy et un certificat gravé par le grand Albert Decaris ; ce sont deux belles récompenses.

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Cette distinction est comme la reconnaissance de ce que ma création graphique depuis plus de cinquante ans, tant dans ma carrière professionnelle que dans le plaisir de peindre, n'a pas été inutile et m'incite ainsi à continuer à faire connaître ce que j'ai fait et poursuivre jusqu'à ce que je ne puisse plus tenir un crayon ou un pinceau en remerciant Dieu de m'avoir donné ce don du dessin.

Je vous livre ci-dessous quelques éléments réunis dans mon dossier qui m'avait été demandé afin de prétendre à l'obtention de cette médaille :

En définitive je l'ai bien méritée, ma médaille.

                                                                                Alain de Jenlis

mardi, 26 février 2013

Mon carnet de voyage à Florence.

carnet de voyage

   En 1961 j'avais vingt ans et, pour marquer ce moment mémorable de mon existence, j'ai eu la chance de me voir attribuer, en fin de troisième année à Estienne, un prix d'excellence comportant un séjour de deux semaines à Florence, un peu comme un modeste prix de Rome remporté à la pointe de mon crayon et de mes mérites ce qui engendra un sentiment de jalousie de la part de mes camarades de promotion qui se demandaient encore l'année suivante pourquoi moi plutôt qu'eux. Je fus d'ailleurs le dernier bénéficiaire de ce prix dont je vous présente ici les résultats, croquis, dessins, gouaches réalisés lors de mon séjour dans cette superbe ville, berceau des plus grands artistes de la Renaissance italienne.

   Rien n'est plus émouvant que de découvrir une ville d'art comme Florence où le cœur de la cité s'est figé à l'époque de Laurent le Magnifique avec tout ce qui s'est fait alors, union parfaite entre l'architecture, la sculpture, la peinture et les arts décoratifs. Tout cela n'a pas bougé et, pour les créateurs d'image, quelle stimulation !

   Pour ma part, je n'ai pas cessé de courir à droite et à gauche à la recherche des trésors, plus beaux les uns que les autres, comme les grands sanctuaires que sont les fresques de beato Angelico à san Marco, les sculptures de Michel-Ange à san Lorenzo et à l'Academia, les chefs d'œuvres réunis à la Badia, aux Offices et au Palais Pitti, mais aussi la chapelle des Brancacci avec ses Masaccio ou le Palais Riccardi Medicis et sa superbe procession de Gozolli. Mon camarade, lauréat de la section typo (c'est lui qui est assis à gauche sur ma vue générale de Florence), était, lui, chargé d'écrire un journal. Il avait un peu de mal à suivre mon rythme, surtout à l'heure de la sieste que j'ignorais pour ma part.

   Vous comprendrez que je n'avais pas le temps de planter un chevalet que, d'ailleurs, je n'avais pas. Par contre un grand carnet de croquis m'a permis de laisser des traces de ce que je voyais dans la rue mais aussi dans les musées (où j'entrais avec un laissez-passer que m'avait remis, en main propre, le conservateur des Offices) ou les églises qui regorgent de tant de belles œuvres signées des plus grands artistes de cette époque exceptionnelle où la symbiose était aussi parfaite entre les mécènes, grands seigneurs (plus souvent attirés par la poésie et la musique que par les finances qui n'étaient pas, pour eux, le seul but à atteindre) et ecclésiastiques extrêmement cultivés, et les créateurs dans tous les domaines des arts plastiques qui n'en étaient que plus productifs. La majeure partie de ces dessins est présentée dans mon album en haut à droite, vues rapides tracées au feutre et dessins au crayon, plus poussés, pour apporter un peu de l'illusion du relief qu'expriment toutes ces sculptures aux dimensions le plus souvent impressionnantes pour qui ne les a pas encore vues, la plus remarquable étant le Moïse de Michel-Ange, qu'il faut aller voir à Rome.

   Je logeais dans une pension derrière Sainte Marie des Fleurs dont la terrasse, où nous prenions les repas, dominait une place avec un cinéma en plein air. Chaque soir, pendant le dîner, nous avions un nouveau film ce qui était très bien. Par contre après dix heures du soir, il y avait une seconde séance ce qui était un peu gênant pour s'endormir surtout lorsqu'il s'agissait des travaux d'Hercule ou des combats de Samson contre les Philistins. Nos voisins de terrasse ne prêtaient aucune attention au cinéma pour la raison qu'ils étaient tous sourds-muets et communiquaient entre eux avec les mains. De ma chambre j'avais une belle vue sur la colline de San Miniato que vous pouvez admirer en couverture de mon album.

   La mode est, aujourd'hui, aux carnets de voyage. Je pense que mon travail réalisé à Florence il y a cinquante et un ans pourrait bien répondre à un sujet aussi riche que la visite de Florence à l'attention de ceux qui ne connaissent pas encore ce haut lieu de la vie artistique européenne et à rappeler de bons souvenirs à ceux qui en ont gardé la nostalgie.

   Voici quelques croquis et dessins faits lors de mon séjour à Florence :

   Il vous est aussi possible de me commander un exemplaire de mon Carnet de voyage réunissant l'ensemble de ces études (40 croquis et dessins et 3 gouaches) au prix de 15€ (voir l'album "Mes recueils..." dans la colonne de gauche).

   Bien cordialement à tous ceux qui me lisent et regardent mes œuvres.

                                   Alain de JENLIS

mercredi, 26 octobre 2011

Je vous propose un carnet de mes dessins...

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Première de couverture.

    Le Ciel m'a donné le don du dessin ce qui m'a permis, très tôt, de transcrire au crayon ou au feutre sur des feuilles de papier de toutes provenances, ce que je lisais, voyais au cinéma ou écoutais sur disque, à la radio ou au concert. Mes sujets de prédilection étaient l'histoire, la littérature et la musique, je faisais donc ces dessins de pure imagination, sans modèle avec mon seul acquis mémorisé et mon imaginaire. Ma main, avec son crayon ou son feutre, faisait le reste. IL y a même des moments où je n'en revenais pas moi-même.

    J'ai réunis dans ce carnet une centaine de mes dessins faits entre 1958 (j'avais alors 17 ans) et 1970, époque où mon activité professionnelle et ma vie de famille ne me laissaient plus le temps d'exprimer, par le dessin, ce que je ressentais à la suite d'une lecture ou d'un moment musical. Par contre, aujourd'hui, j'éprouve beaucoup de plaisirs, en revoyant ces dessins, à repenser à l'Iliade, au Capitaine Fracasse ou à des aires de danse.

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Exemple de deux pages intérieures.

     Si vous souhaitez acquérir ce recueil de mes dessins vous pouvez cliquer sur l'image "Mes recueil proposés à la vente" dans la colonne de gauche. Vous y trouverez le "Carnet de Dessins d'Alain de Jenlis", sa présentation technique et les conditions pour le commander.

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Quatrième de couverture.

     Je reste à votre disposition pour vous préparer un exemplaire de mon Carnet de Dessins.

                                                                                    Alain de Jenlis

samedi, 22 janvier 2011

Figures emblématiques de l'Histoire.

 

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   J'ai toujours aimé l'Histoire ancienne avec une préférence pour l'Histoire de l'Art qui m'a conduit, très jeune, à la création graphique. Plus dessinateur que coloriste, j'ai cherché à exciter mon imagination sur des sujets historiques déjà traités par les artistes anciens, mais sans les copier, à ma manière à moi.

   C'est bien plus tard, et notamment par le biais de l'aquarelle et du pastel, que j'ai traité le paysage et le portrait d'après nature. J'en ai déduit que les arts plastiques, et particulièrement la peinture comprend deux approches bien distinctes ; l'observation. et l'imaginaire. La plupart des artistes sont doués soit pour l'une, soit pour l'autre. Les plus grands d'entre eux dans l'art occidental réunissent ces deux conditions. Je ne donnerai pas de noms.

   Ce recueil réunit l'ensemble de mes peintures à l'huile et quelques gouaches sur grand format que j'ai peintes depuis 1960 sur les thèmes d'Histoire qui m'intéressaient suite à une lecture, un film ou une musique. Chronologiquement j'ai puisé mes sujets dans l'Antiquité, les dieux mythiques, l'Ancien et le Nouveau Testament, le Moyen Age, la Renaissance jusqu'à aujourd'hui dans un sens plus symbolique que réel. Chaque tableau raconte une histoire faisant appel à la mémoire et à l'imaginaire du passé.

    Ainsi je me considère, au travers de ces œuvres, comme un imagier du Moyen Age qui racontait une histoire (l'Eglise alors mécène des Arts) afin de faire connaître, par des images, la vie édifiante des Saints. Mon horizon est plus large mais moins bien épaulé.

   Vous penserez ce que vous voudrez sur la qualité de ce que j'ai ainsi réalisé mais ce fut pour moi beaucoup de plaisirs à le faire.

                                             Alain de Jenlis


samedi, 03 juillet 2010

Un manuscrit retrouvé dans mes cartons.

Histoire de l'écriture.


J'ai écrit et illustré ce manuscrit " Histoire de l'écriture " d'après les cours magistraux de Monsieur Henri Munsch professeur au Collège Estienne, grand spécialiste du dessin de la lettre et auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet. L'enthousiasme qu'il mettait à parler de son histoire m'avait incité à réaliser mon cahier de cours comme un manuscrit d'autrefois, d'avant l'apparition de l'imprimerie qui banalisa l'art de la lettre dessinée à la main, où la construction mathématique remplaça l'imaginaire.

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Je propose mon manuscrit " Histoire de l'écriture " composé de 15  planches  recto/verso au format 29,70 x 21 cm, tout en couleur (chaque planche contient 4 des 60 pages de mon cahier au format 14,60 x 21 cm sur papier 190 g/m2 et  couverture film transparent, relié par une spirale blanche.

Prix de ce manuscrit " Histoire de l'écriture " : 40 € plus frais de port de 5 € pour la France.

Pour commander ce manuscrit " Histoire de l'écriture " remplir le bon de commande

à tirer sur papier et à m'envoyer à l'adresse indiquée.