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mardi, 12 mars 2024

Maquettes de couvertures de livres. N°22

 
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Maquetter des couvertures ou des jaquettes (1ère plus dos et 4ème de couverture en une seule illustration) de livres m'a toujours intéressé parce qu'il faut faire appel à la fois à son imagination et à sa mémoire pour traiter des thèmes historiques et littéraires. Il faut résumer en une seule image plusieurs centaines de pages écrites racontant une histoire pouvant durer plusieurs années et mettant en scène de nombreux personnages. C'est la symbolisation d'un thème où il faut plutôt créer l'atmosphère que résumer un ensemble sur une seule image. Une histoire psychologique est évidemment plus difficile à visualiser qu'une aventure anecdotique. Un bon dessinateur de personnages saura mieux créer une couverture sur un ouvrage de Dumas que sur un traité de Freud qui inspirera plus un créatif à l'esprit surréaliste.

J'ai eu l'occasion de travailler à l'Atelier Pierre Faucheux qui acquit, dans les années 60, le monopole de la concepion des jaquettes du Livre de poche. Je regrettais que la performance de l'illustrateur au bon coup de crayon fut remplacé par l'utilisation de documents découpés et traités en montages, ce qui faisaient cependant forte impression auprès des lecteurs. Ce fut la fin d'une technique que je privilégiais alors en m'y exerçant avec les maquettes que vous pouvez découvrir ici sur l'album à feuilleter ci-dessous:

couvertures de livres,maquettes

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Depuis les éditeurs, essentiellement pour la jeunesse, sont revenus sur ce système et font appel à des illustrateurs talentueux qui ne renient pas leurs anciens prédécesseurs malheureusement bien oubliés aujourd'hui au profit des dessinateurs de BD qui étaient tout aussi méritants.

Bien cordialement à tous ceux qui me lisent et regardent mes oeuvres.

Alain de JENLIS

dimanche, 23 février 2020

Je propose des recueils sur mes peintures et illustrations.

     Chers amis qui entrez dans mon univers de créations graphiques ou qui me suivez depuis plus de dix ans sur mon blog et mon site www.ajenlis.fr , sachez que vous trouverez ici un ensemble d'articles sur les thèmes les plus variés, basés sur mes dessins, mes peinture et mes travaux publicitaires. Une expérience unique qui devrait intéresser tous ceux que les arts graphiques intéressent.

     Pour ceux qui considèrent encore que le papier peut encore être un meilleur support de mémoire que l'ordinateur pour la conservation de l'image, j'ai réuni dans des recueils à thème une grande partie de mes travaux graphiques et picturaux que je vous présente ici :

 

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Un séjour à Florence.

Cet ouvrage réunit l'ensemble de mesdessins et gouaches réalisés lors de mon séjour à Florence en août 1961, avec un texte, comme un carnet de voyage et des légendes pour chaque illustration.

Dossier de 12 pages recto + 2 pages de couverture au format 29,7 x 21 cm, à l'italienne. Reliure à spirale sur le petit côté gauche.

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Recueil de mes peintures faites d'imagination.

Je propose mon recueil » Figures emblématiques de l’Histoire » composé de 43 planches recto au format 29,70 x 21 cm, tout en couleur (chaque planche contient 2 tableaux en hauteur ou 1 tableau en largeur avec leur titre sur papier 110 g/m2 et couverture 160g/m2, film transparent, relié par une spirale.

 

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Mon manuscrit sur l'histoire de l'écriture.

Je propose le fac-similé de mon cahier d'histoire de l'écriture réalisé à Estienne en 1960 et 1961, composé de 62 pages présentées ici par deux sur 16 planches recto/verso au format 29,70 x 21 cm, tout en couleur sur papier 110 g/m2 et couverture 160g/m2, film transparent, relié par une spirale.

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Les sapeurs-pompiers de France.

Ce recueil réunit les 24 planches que j'ai réalisées sur les uniformes des sapeurs-pompiers en France depuis Louis XIV avec les troupes des galères en service à Marseille jusqu'à 1985, l'année où j'ai conçu cette documentation.

Je propose ce recueil de 24 planches au format 29,70 x 21 cm, tout en couleur (chaque page contient 2 planches au format 14,60 x 21 cm sur papier 190 g/m2 et couverture film transparent, relié par une spirale.

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Les uniformes français de 1814 à 1830.

Ce recueil réunit les 44 planches que j'ai réalisées sur les uniformes de la Restauration, période difficile pour les anciens militaires de l’Armée Impériale. Louis XVIII réussit à récupérer un grand nombre d’entre eux dans la Garde royale habillée d’uniformes chatoyants, plus faite pour la parade que pour la guerre qui avait enfin pris fin.
Je propose ce recueil de 44 planches accompagnées de quelques unes de mes illustrations sur cette époque, au format 29,70 x 21 cm, tout en couleur (chaque page contient 2 planches au format 14,60 x 21 cm sur papier 190 g/m2 et couverture film transparent, relié par une spirale.

     Si l'un ou plusieurs de ces recueils vous intéresse, vous pouvez savoir quel est le coût de chacun d'eux et me les commander en remplissant les bons de commandes que vous trouverez dans ma galerie commerciale située dans la colonne de gauche. Pour les deux recueils en préparation, des encouragements de votre part m'inciteraient à les finaliser très rapidement.

Et que vivent longtemps les arts graphiques sur papier.

                                                                            Alain de Jenlis

 

vendredi, 26 juin 2015

La tenue uniforme militaire de Louis XIV à 1914.

   Vous êtes-vous déjà posé la question de savoir pourquoi les soldats comme les officiers d'infanterie et de cavalerie sous l'Ancien Régime, sous les deux Empires et jusqu'à la III° République, partaient au combat habillés pour la parade, sans aucun élément de protection individuelle ?

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    Spécialiste des tenues militaires j'ai fait une analyse comparative de l'habillement, de l'équipement et de l'armement individuel du soldat et de l'officier depuis l'armée romaine jusqu'à aujourd'hui et j'ai constaté avec effroi que depuis le règne de Louis XIV, qu'à part l'exception faite de la cuirasse portée par la grosse cavalerie,  ils partaient tous au combat sans équipement de protection, uniquement pour le panache.

C'est ce que je me propose de vous démontrer par mes articles qui suivront. 

                                                                                Alain de Jenlis 

membre de la Sabretache

jeudi, 10 avril 2014

Décryptage de mes peintures symbolistes (4)

Bonaparte à Lodi.

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    La vie de Napoléon est si riche d'événements qu'il est difficile de la résumer en une seule image. Le couronnement symbolise le moment charnière où le général Bonaparte a atteint l'objectif le plus sublime qu'un homme d'origine quelconque puisse atteindre dans une société occidentale. L'autre partie de sa vie sera celle d'un souverain cherchant à conserver son pouvoir avant que la perte de ses facultés et la maladie l'obligent à desserrer son étreinte.

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    Pour l'histoire, autant le jeune Bonaparte symbolise l'action et l'enthousiasme liés à une intelligence exceptionnelle (mais aussi beaucoup de chance), autant Napoléon 1er nous montre l'image d'un homme mûr avant l'âge, autoritaire et orgueilleux jusqu'à l'insupportable (c'est surtout ce qui transparait aujourd'hui d'après le bilan négatif qui en ressort).

 lodi.jpg  Voici le carton d'invitation que j'avais imprimé à l'occasion de l'accrochage de mon tableau "Bonaparte à Lodi" dans le cadre du Salon des Artistes Français au Grand Palais en 1969, tableau accepté par les membres du jury.

    1969 marquait le bicentenaire de la naissance de Napoléon Bonaparte, une raison du pourquoi de mon sujet qui m'avait été inspiré par un texte de Benoist-Méchin extrait de son "Bonaparte en Egypte". C'est à la bataille de Lodi (le 10 mai 1796) que Bonaparte prit conscience de son destin qui allait largement plus loin que celui d'un général victorieux sur le terrain mais comme un homme capable de diriger une nation au même titre qu'un souverain et fondateur d'une dynastie, confidence faite à son secrétaire Bourienne en rajoutant "Je me vis dans l'Histoire".

    Rien ne peut mieux définir un destin aussi exceptionnel que le moment où Bonaparte réalise que sa trajectoire n'a plus de limite dans un monde en plein bouleversement et qu'il semble être le seul a pouvoir y remettre de l'ordre.

 P7110005.JPG   Mon image est sommaire mais forte comme une affiche publicitaire. Bonaparte domine ses soldats issus de l'Armée des volontaires de l'An II, comme un océan bicolore (le blanc, couleur royale, est banni) et dont les baïonnettes alignées indiquent l'ordre et la discipline, dans l'attente de l'attaque, galvanisée par un seul chef. Ce tableau est aujourd'hui quelque part chez un collectionneur, peut-être le même depuis 22 ans.

    Dans quinze jours je vous décrypterai mon tableau consacré à l'offrande de la lune à la Vierge Marie par les trois cosmonautes qui les premiers, ont foulé son sol. Ce tableau fut réalisé six mois après l'événement.

                                                                                 Alain de Jenlis

 

 

vendredi, 21 mars 2014

Décryptage de mes peintures symbolistes (3)

Roméo et Juliette.

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    C'est après avoir vu le film de Franco Zeffirelli "Roméo et Juliette" à sa sortie en 1968, que j'ai peint cette toile avec l'idée de résumer en une image toute la richesse de cette tragédie shakespearienne qui traduit à elle seule la beauté, la jeunesse et l'amour triomphant de la jalousie et de la haine par une seule issue possible, la mort.

    J'ai revu le film depuis et je m'aperçois que ce n'est pas le visuel qui m'a inspiré, mais bien les idées qui en ressortent car rien ne rappelle les costumes ni le décor, non plus la vue en plongée qui n'a pas été utilisée par la caméra. Tout s'est construit dans mon imaginaire et ma conception de cette histoire d'amour qui défie les siècles.

  Roméo et Juliette 005.jpgRoméo et Juliette 003.jpg  En 1968, j'étais jeune marié et la notion d'amour dans toute sa pureté était un thème important pour moi. Je trouvais dans cette histoire la force d'un amour triomphant au dessus des partis, en l'occurrence deux adolescents attirés l'un l'autre par une intuition liée à leur beauté juvénile alors qu'ils sont les seuls héritiers de deux familles riches de Vérone  qui se jalousent et se détestent. Roméo et Juliette vont aller jusqu'à se marier incognito puis, par l'effet d'un quiproquo, lui s'empoisonne la croyant déjà morte, elle se perce le sein sur le corps de son mari. Le damier blanc et noir sur lequel ils gisent représente l'antagonisme des deux familles rivales Les Capulets et les Montaigus, qui vont se réconcilier lors des obsèques du couple réuni pour l'éternité.

  Bonaparte à Lodi..jpg Cette peinture a été exposée au 80ème  Salon des Artistes Indépendants l'année suivante, du 28 mars au 20 avril 1969 au Grand Palais.Voici ce qui a été écrit dans "La Revue Moderne des Arts et de la vie" de juillet 69 : "Ce jeune peintre... aime traiter des thèmes puisés dans l'histoire, la littérature ou la mythologie, ce qui est fort rare de nos jours."

    Dans quinze jours je vous présenterai mon tableau intitulé "Bonaparte à Lodi" qui symbolise le point de départ des ambitions du futur empereur des Français.

                                                            Alain de Jenlis

mercredi, 05 mars 2014

Décryptage de mes peintures symbolistes (2)

Un héritage de famille.

    Mon bisaïeul dont je porte le nom était un esthète, bien dans l'esprit de son temps. Secrétaire d'ambassade, il fut en poste à Madrid, puis à Rome, enfin à Constantinople d'où il revint à Paris en octobre 1867 comme attaché à la Direction politique (sous-direction du Midi et de l'Orient) au Quai d'Orsay, tout près des Invalides où il allait se marier avec la fille du général commandant l'Hôtel l'année suivante, à l'âge de 30 ans.

    Ce jeune diplomate, alors célibataire, a séjourné plusieurs années en Espagne, en Italie et en Turquie avec un esprit de curiosité insatiable achetant au gré de ses déplacements des tableaux et des objets de toutes sortes, petits meubles, lampes, tapis, armes orientales, statuettes,  pour se faire plaisir et qui sont comme des cadeaux légués à sa nombreuse descendance, sur quatre générations. A ma connaissance, mon aïeul n'a pas laissé d'écrits sur ses séjours (mais certainement des lettres à ses parents et amis car on avait la plume facile à cette époque), par contre il possédait un matériel assez volumineux de photographies à plaque qu'il utilisa à Rome et à Constantinople pour des photos en pose au format circa 24x30 cm.

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Mon cadeau à moi, suite à son séjour en Italie, est un beau tableau peint à Naples en 1868 par César Auguste Detti qui allait ensuite faire une belle carrière à Rome puis a Paris, inondant le marché de l'art de scènes de genre au temps des Valois et des Bourbon, de Louis XIII et Louis XIV, des thèmes très appréciés et très vendeurs à l'époque.

Cette gouache, que j'intitulerais "L'aubade à la Vierge", représente deux pâtres en dévotion musicale, la tête découverte, devant une image pieuse à l'angle de deux rues à Naples. L'artiste avait alors 21 ans et terminait sa formation de peintre dans cette ville. La perspective des maisons est discutable mais les deux personnages sont saisis sur le vif et modelés avec un réalisme saisissant.

Le thème est original par sa valeur spirituelle et la modestie du sujet qui peut toucher aussi bien les riches que les pauvres. N'est-ce pas là le but à atteindre pour une œuvre artistique digne de ce nom ?

Il y a cinquante, il fallait être un acrobate du pinceau comme Picasso ou un illusionniste du mental comme Dali pour intéresser un public complètement déboussolé par les tendances avant-gardistes de l'époque. Aujourd'hui, alors que l'abstrait connait un réel recul, c'est la mascarade et le bricolage, pour ne pas dire la rigolade, qui ont droit de cité dans le monde des arts plastiques.

Pour ma part, je considère la peinture traditionnelle comme l'un des moyens les plus agréables et les plus beaux pour toucher la sensibilité de l'homme et exciter son imaginaire, par le rêve comme par la réflexion. Cette peinture de Detti, qui m'a été transmise par un ancêtre qui l'avait lui même choisi, n'est pas à l'origine de ma vocation artistique mais elle réunit tous les attraits d'une belle image qui a réellement un message à transmettre, sur le plan religieux comme sur celui de la vie sociale, deux bergers qui ne mendient pas mais qui prient devant une image sainte en s'aidant de leurs instruments de musique, leur outil de travail pour réunir le troupeau.

Voila ce que j'avais à vous dire comme introduction à la présentation et au décryptage de mes peintures symbolistes conçues dans cet esprit qui m'a été légué par le père de mon grand-père.

Je vous donne rendez-vous la semaine prochaine pour vous décrypter mon "Roméo et Juliette" peint en 1968.

                                                                        Alain de Jenlis

mardi, 25 février 2014

Décryptage de mes peintures symbolistes (1)

    J'entame, aujourd'hui, une suite de descriptions et de commentaires sur les peintures à l'huile que j'ai réalisées depuis 1969, à l'époque où je les exposais régulièrement chaque année au Grand Palais dans le cadre du Salon des Artistes Français et de celui des Artistes Indépendants. Cela fait déjà quarante cinq ans que mes œuvres ont été vues par un public que la peinture intéresse et rien ne me permet aujourd'hui de me dire "J'ai peint tout ça pour mon plaisir et parce que j'avais besoin d'exprimer par des images ce que j'avais en tête, mais est-ce que mon entourage comprend le message que je voulais faire passer ?".

    Cette question me préoccupe et c'est pourquoi je me propose de vous expliquer, tout d'abord l'idée que je me fais des arts plastiques d'aujourd'hui et comment je m'y situe, ensuite d'expliquer chacune de mes toiles avec la symbolique qui la compose. Une peinture se voit avec les yeux mais elle se décrypte par la réflexion, comme elle avait été faite avec les mains mais aussi grâce aux petites cellules grises de l'artiste.

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    La première toile que je vous commenterai sera mon "Roméo et Juliette" qui fut exposée sur les cimaises du Grand Palais, au 80ème Salon des Indépendants en mars 1969.

    Mais avant ce premier décryptage je vous invite, dans mon prochain article, à découvrir pourquoi je me me suis aventuré dans le monde de la peinture avec le désir de faire mieux sinon aussi bien que mes prédécesseurs, en tout cas sans aucune intention de les renier ni de les démolir .

    Je vous donne rendez-vous la semaine prochaine.

                                                              Alain de Jenlis

lundi, 29 avril 2013

L'ai-je bien méritée ?

La médaille de la Ville de Paris

Dans le cadre d'une exposition qui a eu lieu récemment à La Madeleine, je me suis vu décerner la médaille de bronze de la Ville de Paris pour mon œuvre graphique et picturale. Je n'en reviens pas encore sachant que, pendant des années, j'ai dessiné, j'ai peint, j'ai gravé, suivant mon imaginaire et mes observations afin de faire partager mes passions pour l'histoire ancienne, l'histoire de l'art, les costumes civils et les tenues militaires. Ma plus grande joie, dans cette affaire, n'est pas dans la reconnaissance de mon travail (si, quand même un peu !) mais dans la joie de posséder une médaille sculptée par Maurice Delannoy et un certificat gravé par le grand Albert Decaris ; ce sont deux belles récompenses.

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Cette distinction est comme la reconnaissance de ce que ma création graphique depuis plus de cinquante ans, tant dans ma carrière professionnelle que dans le plaisir de peindre, n'a pas été inutile et m'incite ainsi à continuer à faire connaître ce que j'ai fait et poursuivre jusqu'à ce que je ne puisse plus tenir un crayon ou un pinceau en remerciant Dieu de m'avoir donné ce don du dessin.

Je vous livre ci-dessous quelques éléments réunis dans mon dossier qui m'avait été demandé afin de prétendre à l'obtention de cette médaille :

En définitive je l'ai bien méritée, ma médaille.

                                                                                Alain de Jenlis

mercredi, 20 mars 2013

Des œufs de Pâques caritatifs

   Le mardi 9 avril, à 19 heures 30, aura lieu ,à l'Hôtel Drouot, une vente d’œufs peints par soixante douze artistes au bénéfice d'une association caritative, la FAVA, ce qui permettra l'achat d'équipements destinés à des maisons de retraite pour les handicapés mentaux. Ces œuvres (les œufs) seront exposés avant la vente du jeudi 4 avril  au mardi 9 avril de 10 heures à 18 heures, sauf le dimanche.

   Je vous présente, en avant-première, mon "Œuf de l'Incarnation" haut de 40 cm et peint en trois jours à l’acrylique sur un thème de mon choix qui est la vie du Christ, chacun des artistes étant libre de faire ce qu'il voulait de son œuf.

 

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Je vous laisse le soin de feuilleter cet album pour voir toutes les facettes de mon œuf.

Il sera visible à l'exposition.
 
                                                                           Alain de Jenlis


lundi, 24 décembre 2012

Joyeux Noël à tous mes amis

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Peinture (infographie) réalisée avec les outils de Paint Shop pro 5.

J'ai toujours aimé créer des images au moyen des techniques mises à un moment donné à ma disposition. Ce fut le cas pour la soixantaine de gravures réalisées sur le lino et qui permet d'obtenir la taille et les contrastes de la gravure sur bois. Pour la peinture à l'huile j'ai toujours travaillé suivant les recettes traditionnelles (qui sont les meilleures), de même que pour l'aquarelle. A une époque j'ai réalisé des œuvres abstraites en badigeonnant du carton de colle gutta puis de la peinture à l'eau qui se rétractait ce qui donnait des effets originaux liés au hasard. La sérigraphie m'a obligé à pratiquer le pochoir, un travail très pointu si l'on peut dire.

Aujourd'hui l'ordinateur est un outil fabuleux mais difficile à maitriser comme moyen de création artistique. Je me suis lancé sur un sujet d'actualité dont voila le résultat.

Joyeux Noël et bonnes Fêtes à tous.

                                                                      Alain de Jenlis